Lestraitements mĂ©dicamenteux. D'innombrables spĂ©cialitĂ©s sont disponibles en pharmacie avec ou sans ordonnance.. En cours de poussĂ©e oedĂ©mateuse (« crise d'hĂ©morroĂŻdes »), des anti-inflammatoires et des pommades Ă  la cortisone peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour traiter la douleur.. Les mĂ©dicaments gĂ©nĂ©raux, essentiellement en prise orale, sont principalement ActualitĂ©s SantĂ© MĂ©decine Par Mis Ă  jour le 15/01/2018 Ă  1724 PubliĂ© le 16/10/2011 Ă  1959 153204601/Brian Jackson - La rĂ©ponse du Dr Philippe Godeberge, hĂ©pato-gastro-entĂ©rologue Ă  l'Institut mutualiste Montsouris Ă  Paris et vice-prĂ©sident de la sociĂ©tĂ© nationale française de gastro-entĂ©rologie. Les hĂ©morroĂŻdes sont des structures anatomiques normales prĂ©sentes chez tout individu. Du fait des accouchements, de la constipation mais aussi d'altĂ©rations liĂ©es Ă  l'Ăąge, elles peuvent devenir responsables de symptĂŽmes variĂ©s c'est la maladie hĂ©morroĂŻdaire avec ses pĂ©riodes de paroxysmes appelĂ©es crise hĂ©morroĂŻdaire». Il n'est jamais obligatoire de se faire opĂ©rer car cette maladie est bĂ©nigne, ce qui ne veut pas dire confortable! Dans certains cas, la dĂ©gradation de la qualitĂ© de vie est telle qu'on est contraint de s'y rĂ©soudre. Quels sont alors les critĂšres qui peuvent conduire Ă  cette chirurgie, dont la mauvaise rĂ©putation est partiellement injustifiĂ©e? Il faut avant tout ĂȘtre certain du diagnostic ; la principale erreur est de rapporter aux hĂ©morroĂŻdes tout symptĂŽme anal, notamment le saignement. Un avis mĂ©dical avec un examen physique est indispensable et souvent suffisant ; l'absence de douleur n'Ă©tant en aucune façon un Ă©lĂ©ment permettant de prĂ©dire le diagnostic. Il faut ensuite dĂ©terminer l'objectif thĂ©rapeutique ; c'est-Ă -dire confronter la liste des symptĂŽmes qui sont Ă  l'origine de la demande de soins et ceux qui peuvent ĂȘtre guĂ©ris par la chirurgie. Ainsi la constipation n'est pas la consĂ©quence mais la cause des hĂ©morroĂŻdes ; elle n'est jamais due Ă  une obstruction de l'anus par de grosses hĂ©morroĂŻdes. » A LIRE AUSSI Le manga qui libĂšre la parole sur les hĂ©morroĂŻdes MĂ©dicaments locaux D'autres symptĂŽmes sont parfois rapportĂ©s Ă  des hĂ©morroĂŻdes sans aucun lien difficultĂ© Ă  uriner, troubles de l'Ă©rection, difficultĂ© Ă  retenir les flatulences ou les selles. Tout cela persistera mĂȘme aprĂšs une chirurgie bien conduite. Ce qui peut ĂȘtre supprimĂ© par la chirurgie, ce sont les crises douloureuses liĂ©es Ă  des caillots thromboses dans les hĂ©morroĂŻdes externes, ou la sensation d'extĂ©riorisation des paquets hĂ©morroĂŻdaires internes lors de la dĂ©fĂ©cation, accompagnĂ©e de saignements dans les toilettes ou sur le papier, et parfois d'un suintement. Le mĂ©decin va alors, avec le patient, Ă©valuer les diffĂ©rentes stratĂ©gies thĂ©rapeutiques et les risques associĂ©s. » Voir aussi Quels sont les symptĂŽmes d’une crise hĂ©morroĂŻdale? Lors des premiĂšres consultations, on propose souvent en premiĂšre ligne, la rĂ©gularisation du transit et divers mĂ©dicaments locaux. Des gestes locaux peuvent ĂȘtre associĂ©s en consultation, au cabinet du mĂ©decin, sans hospitalisation ni anesthĂ©sie parce que simples et indolores. L'Ă©chec de cette prise en charge est un argument puissant en faveur de la chirurgie. Parfois on n'attend pas cet Ă©chec car le patient, par pudeur ou crainte, consulte tardivement dans l'histoire de sa maladie, qui est d'emblĂ©e trĂšs dĂ©veloppĂ©e. Douleurs notables À ce stade, on peut proposer trois types de chirurgie, exĂ©cutĂ©e par un chirurgien ou par un proctologue. La plus classique retire les hĂ©morroĂŻdes ; cette opĂ©ration est efficace, sans rĂ©cidive. C'est aussi celle qui a une mauvaise rĂ©putation Ă  cause des douleurs postopĂ©ratoires. Une attention particuliĂšre doit y ĂȘtre apportĂ©e par l'Ă©quipe soignante mais des douleurs notables ne peuvent ĂȘtre exclues. C'est pourquoi les techniques alternatives ont toutes en commun la recherche d'une rĂ©duction de cette douleur qu'il s'agisse d'une ligature simple des artĂšres qui alimentent les hĂ©morroĂŻdes aprĂšs leur repĂ©rage par Doppler ou qu'il s'agisse de leur remise en place avec un agrafage interne, dit opĂ©ration de Longo. Chacune de ces trois mĂ©thodes expose Ă  un rapport bĂ©nĂ©fice/risque spĂ©cifique en termes de sĂ©quelle ou de rĂ©cidive. Ceci doit ĂȘtre Ă©valuĂ© individuellement. Mais le risque potentiel de complications - par ailleurs rares - ne doit pas faire perdre le bĂ©nĂ©fice d'une chirurgie qui peut transformer la qualitĂ© de vie. Ces opĂ©rations ne concernent au final que 5 % des patients. Quoi qu'il en soit, la dĂ©cision d'opĂ©rer se fait en commun patient-mĂ©decin et n'est jamais une urgence. EN SAVOIR PLUS » Les diffĂ©rentes formes d'hĂ©morroĂŻdes » Les principaux facteurs dĂ©clenchants Comment prĂ©venir les hĂ©morroĂŻdes? GuideComplet Contre Les HĂ©morroĂŻdes par Sophie Joly est dit ĂȘtre un traitement hĂ©morroĂŻdaire miracle. Il a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© dans plusieurs sites d’hĂ©morroĂŻdes et aprĂšs plusieurs semaines de sorti, il a pu aider des milliers de personnes qui souffrent de saignements rectaux ou des varices pour soulager leurs symptĂŽmes et de mener une vie
L’incontinence fĂ©cale est l’incapacitĂ© de contrĂŽler la dĂ©fĂ©cation, provoquant une fuite inattendue des matiĂšres fĂ©cales du rectum. Aussi appelĂ©e incontinence intestinale, l’incontinence fĂ©cale va d’une fuite occasionnelle de selles lors du passage de gaz Ă  une perte complĂšte du contrĂŽle intestinal. Les causes courantes d’incontinence fĂ©cale comprennent la diarrhĂ©e, la constipation et les lĂ©sions musculaires ou nerveuses. Les lĂ©sions musculaires ou nerveuses peuvent ĂȘtre associĂ©es au vieillissement ou Ă  l’accouchement. Quelle qu’en soit la cause, l’incontinence fĂ©cale peut ĂȘtre gĂȘnante. Mais n’hĂ©sitez pas Ă  parler Ă  votre mĂ©decin de ce problĂšme courant. Les traitements peuvent amĂ©liorer l’incontinence fĂ©cale et votre qualitĂ© de vie. L’incontinence fĂ©cale peut survenir temporairement lors d’un Ă©pisode occasionnel de diarrhĂ©e, mais pour certaines personnes, l’incontinence fĂ©cale est chronique ou rĂ©currente. Les personnes atteintes de cette maladie peuvent ĂȘtre incapables d’arrĂȘter l’envie de dĂ©fĂ©quer, qui survient si soudainement qu’elles ne se rendent pas aux toilettes Ă  temps. Cette condition est appelĂ©e incontinence de dĂ©fĂ©cation. Un autre type d’incontinence fĂ©cale survient chez les personnes qui ne sont pas conscientes de la nĂ©cessitĂ© d’aller Ă  la selle. Cette condition est appelĂ©e incontinence de dĂ©fĂ©cation passive. L’incontinence fĂ©cale peut ĂȘtre accompagnĂ©e d’autres problĂšmes intestinaux, tels que La diarrhĂ©e Constipation PĂ©ter et ballonnements Consultez votre mĂ©decin si vous ou votre enfant dĂ©veloppez une incontinence fĂ©cale, surtout si elle est frĂ©quente ou grave, ou si elle provoque une dĂ©tresse Ă©motionnelle. Souvent, les gens hĂ©sitent Ă  parler Ă  leur mĂ©decin de l’incontinence fĂ©cale. Mais des traitements sont disponibles et plus tĂŽt vous serez Ă©valuĂ©, plus tĂŽt vous pourrez trouver un soulagement Ă  vos symptĂŽmes. Qu’est-ce qui cause l’incontinence fĂ©cale? Pour de nombreuses personnes, il existe plusieurs causes d’incontinence fĂ©cale. Les causes peuvent inclure Dommages musculaires. Une lĂ©sion des anneaux musculaires Ă  l’extrĂ©mitĂ© du rectum sphincter anal peut rendre difficile la rĂ©tention correcte des selles. Ce type de dommage peut survenir pendant l’accouchement, surtout si vous avez une Ă©pisiotomie ou si des forceps sont utilisĂ©s pendant l’accouchement. DĂ©gĂąts nerveux. Les lĂ©sions des nerfs qui dĂ©tectent les selles dans le rectum ou de ceux qui contrĂŽlent le sphincter anal peuvent entraĂźner une incontinence fĂ©cale. Les lĂ©sions nerveuses peuvent ĂȘtre causĂ©es par l’accouchement, des efforts constants pendant la dĂ©fĂ©cation, une lĂ©sion de la moelle Ă©piniĂšre ou un accident vasculaire cĂ©rĂ©bral. Certaines maladies, telles que le diabĂšte et la sclĂ©rose en plaques, peuvent Ă©galement affecter ces nerfs et causer des dommages menant Ă  une incontinence fĂ©cale. Constipation. La constipation chronique peut entraĂźner la formation d’une masse sĂšche et dure de selles selles incluses dans le rectum et devenir trop volumineuses pour ĂȘtre Ă©vacuĂ©es. Les muscles du rectum et des intestins s’étirent et finissent par s’affaiblir, permettant aux selles aqueuses de plus haut dans le tube digestif de se dĂ©placer autour des selles touchĂ©es et de s’échapper. La constipation chronique peut Ă©galement causer des lĂ©sions nerveuses entraĂźnant une incontinence fĂ©cale. La diarrhĂ©e. Les selles solides sont plus faciles Ă  retenir dans le rectum que les selles molles, de sorte que les selles molles de la diarrhĂ©e peuvent causer ou aggraver l’incontinence fĂ©cale. Les hĂ©morroĂŻdes. Lorsque les veines de votre rectum gonflent, provoquant des hĂ©morroĂŻdes, cela empĂȘche votre anus de se fermer complĂštement, ce qui peut permettre aux selles de s’échapper. Perte de capacitĂ© de stockage dans le rectum. Normalement, le rectum s’étire pour accueillir les selles. Si votre rectum est cicatrisĂ© ou raide en raison d’une intervention chirurgicale, d’une radiothĂ©rapie ou d’une maladie inflammatoire de l’intestin, le rectum ne peut pas s’étirer autant qu’il le faut et un excĂšs de selles peut s’échapper. OpĂ©ration. La chirurgie pour traiter les veines hypertrophiĂ©es du rectum ou de l’anus hĂ©morroĂŻdes, ainsi que les opĂ©rations plus complexes impliquant le rectum et l’anus, peuvent provoquer des lĂ©sions musculaires et nerveuses entraĂźnant une incontinence fĂ©cale. Prolapsus rectal. L’incontinence fĂ©cale peut ĂȘtre le rĂ©sultat de cette condition, dans laquelle le rectum tombe dans l’anus. L’étirement du sphincter rectal par prolapsus endommage les nerfs qui contrĂŽlent le sphincter rectal. Plus cela dure longtemps, moins les nerfs et les muscles sont susceptibles de rĂ©cupĂ©rer. Rectocele. Chez la femme, une incontinence fĂ©cale peut survenir si le rectum dĂ©passe du vagin. Facteurs de risque Un certain nombre de facteurs peuvent augmenter votre risque de dĂ©velopper une incontinence fĂ©cale, notamment Âge. Bien que l’incontinence fĂ©cale puisse survenir Ă  tout Ăąge, elle est plus frĂ©quente chez les adultes de plus de 65 ans. Être une femme. L’incontinence fĂ©cale peut ĂȘtre une complication de l’accouchement. Des recherches rĂ©centes ont Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© que les femmes qui prennent un traitement hormonal substitutif mĂ©nopausique ont un risque lĂ©gĂšrement accru d’incontinence fĂ©cale. DĂ©gĂąts nerveux. Les personnes qui souffrent de diabĂšte de longue date, de sclĂ©rose en plaques ou de traumatismes au dos suite Ă  une blessure ou Ă  une intervention chirurgicale peuvent prĂ©senter un risque d’incontinence fĂ©cale, car ces conditions peuvent endommager les nerfs qui aident Ă  contrĂŽler la dĂ©fĂ©cation. DĂ©mence. L’incontinence fĂ©cale est souvent prĂ©sente dans la maladie d’Alzheimer et la dĂ©mence Ă  un stade avancĂ©. Handicap physique. Être physiquement handicapĂ© peut rendre difficile l’accĂšs aux toilettes Ă  temps. Une blessure qui a causĂ© une incapacitĂ© physique peut Ă©galement causer des lĂ©sions du nerf rectal, conduisant Ă  une incontinence fĂ©cale. Complications DĂ©tresse Ă©motionelle. La perte de dignitĂ© associĂ©e Ă  la perte de contrĂŽle sur ses fonctions corporelles peut conduire Ă  l’embarras, Ă  la honte, Ă  la frustration et Ă  la dĂ©pression. Il est courant pour les personnes souffrant d’incontinence fĂ©cale d’essayer de cacher le problĂšme ou d’éviter les engagements sociaux. Irritation de la peau. La peau autour de l’anus est dĂ©licate et sensible. Un contact rĂ©pĂ©tĂ© avec les selles peut entraĂźner des douleurs et des dĂ©mangeaisons, et potentiellement des plaies ulcĂšres qui nĂ©cessitent un traitement mĂ©dical. PrĂ©vention de l’incontinence fĂ©cale Selon la cause, il peut ĂȘtre possible d’amĂ©liorer ou de prĂ©venir l’incontinence fĂ©cale. Ces actions peuvent aider RĂ©duisez la constipation. Augmentez votre exercice, mangez plus d’aliments riches en fibres et buvez beaucoup de liquides. ContrĂŽlez la diarrhĂ©e. Traiter ou Ă©liminer la cause de la diarrhĂ©e, telle qu’une infection intestinale, peut vous aider Ă  Ă©viter l’incontinence fĂ©cale. Évitez de forcer. Les efforts pendant la dĂ©fĂ©cation peuvent Ă©ventuellement affaiblir les muscles du sphincter anal ou endommager les nerfs, ce qui peut conduire Ă  une incontinence fĂ©cale. Diagnostic Votre mĂ©decin vous posera des questions sur votre Ă©tat et effectuera un examen physique qui comprend gĂ©nĂ©ralement une inspection visuelle de votre anus. Une sonde peut ĂȘtre utilisĂ©e pour examiner cette zone Ă  la recherche de lĂ©sions nerveuses. Normalement, ce contact provoque une contraction de votre sphincter anal et un plissement de votre anus. Tests mĂ©dicaux Un certain nombre de tests sont disponibles pour aider Ă  identifier la cause de l’incontinence fĂ©cale Examen rectal numĂ©rique. Votre mĂ©decin insĂšre un doigt gantĂ© et lubrifiĂ© dans votre rectum pour Ă©valuer la force de vos muscles sphinctĂ©riens et pour vĂ©rifier toute anomalie dans la rĂ©gion rectale. Au cours de l’examen, votre mĂ©decin peut vous demander de vous abaisser, pour rechercher un prolapsus rectal. Test d’expulsion du ballon. Un petit ballon est insĂ©rĂ© dans le rectum et rempli d’eau. On vous demandera ensuite d’aller aux toilettes pour expulser le ballon. Si cela prend plus d’une Ă  trois minutes, vous souffrez probablement d’un trouble de la dĂ©fĂ©cation. ManomĂ©trie anale. Un tube Ă©troit et flexible est insĂ©rĂ© dans l’anus et le rectum. Un petit ballon Ă  l’extrĂ©mitĂ© du tube peut ĂȘtre dilatĂ©. Ce test permet de mesurer l’étanchĂ©itĂ© de votre sphincter anal ainsi que la sensibilitĂ© et le fonctionnement de votre rectum. Échographie anorectale. Un instrument Ă©troit en forme de baguette est insĂ©rĂ© dans l’anus et le rectum. L’instrument produit des images vidĂ©o qui permettent Ă  votre mĂ©decin d’évaluer la structure de votre sphincter. Proctographie. Des images vidĂ©o aux rayons X sont rĂ©alisĂ©es pendant que vous dĂ©fĂ©quez dans des toilettes spĂ©cialement conçues. Le test mesure la quantitĂ© de selles que votre rectum peut contenir et Ă©value la capacitĂ© de votre corps Ă  expulser les selles. Coloscopie. Un tube flexible est insĂ©rĂ© dans votre rectum pour inspecter l’ensemble du cĂŽlon. Imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique IRM. Une IRM peut fournir des images claires du sphincter pour dĂ©terminer si les muscles sont intacts et peut Ă©galement fournir des images pendant la dĂ©fĂ©cation dĂ©fĂ©cographie. Traitement de l’incontinence fĂ©cale MĂ©dicaments Selon la cause de l’incontinence fĂ©cale, les options comprennent Les mĂ©dicaments anti-diarrhĂ©iques tels que Chlorhydrate de lopĂ©ramide Imodium AD et diphĂ©noxylate et sulfate d’atropine Lomotil Laxatifs en vrac tels que mĂ©thylcellulose Citrucel et psyllium Metamucil, si la constipation chronique est Ă  l’origine de votre incontinence Exercice et autres thĂ©rapies Si des lĂ©sions musculaires provoquent une incontinence fĂ©cale, votre mĂ©decin peut recommander un programme d’exercices et d’autres thĂ©rapies pour restaurer la force musculaire. Ces traitements peuvent amĂ©liorer le contrĂŽle du sphincter anal et la conscience de l’envie de dĂ©fĂ©quer. Les options comprennent Exercices de Kegel. Les exercices de Kegel renforcent les muscles du plancher pelvien, qui soutiennent la vessie et l’intestin et, chez la femme, l’utĂ©rus, et peuvent aider Ă  rĂ©duire l’incontinence. Pour effectuer les exercices de Kegel, contractez les muscles que vous utiliseriez normalement pour arrĂȘter l’écoulement de l’urine. Maintenez la contraction pendant trois secondes, puis dĂ©tendez-vous pendant trois secondes. RĂ©pĂ©tez ce modĂšle 10 fois. Au fur et Ă  mesure que vos muscles se renforcent, maintenez la contraction plus longtemps, en progressant progressivement jusqu’à trois sĂ©ries de 10 contractions par jour. Biofeedback. Des physiothĂ©rapeutes spĂ©cialement formĂ©s enseignent des exercices simples qui peuvent augmenter la force musculaire anale. Les gens apprennent Ă  renforcer les muscles du plancher pelvien, Ă  dĂ©tecter le moment oĂč les selles sont prĂȘtes Ă  ĂȘtre libĂ©rĂ©es et Ă  contracter les muscles si une dĂ©fĂ©cation Ă  un certain moment n’est pas pratique. Parfois, l’entraĂźnement se fait Ă  l’aide de la manomĂ©trie anale et d’un ballon rectal. EntraĂźnement intestinal. Votre mĂ©decin peut recommander de faire un effort conscient pour dĂ©fĂ©quer Ă  un moment prĂ©cis de la journĂ©e par exemple, aprĂšs avoir mangĂ©. DĂ©terminer quand vous devez utiliser les toilettes peut vous aider Ă  mieux contrĂŽler. Agents gonflants. Les injections d’agents gonflants non rĂ©sorbables peuvent Ă©paissir les parois de votre anus. Cela permet d’éviter les fuites. Stimulation du nerf sacrĂ© SNS. Les nerfs sacrĂ©s vont de votre moelle Ă©piniĂšre aux muscles de votre bassin et rĂ©gulent la sensation et la force des muscles des sphincters rectaux et anaux. L’implantation d’un appareil qui envoie de petites impulsions Ă©lectriques en continu aux nerfs peut renforcer les muscles de l’intestin. Stimulation du nerf tibial postĂ©rieur PTNS / TENS. Ce traitement mini-invasif stimule le nerf tibial postĂ©rieur au niveau de la cheville. Dans une vaste Ă©tude, cependant, cette thĂ©rapie ne s’est pas rĂ©vĂ©lĂ©e significativement meilleure qu’un placebo. Ballon vaginal SystĂšme Eclipse. Il s’agit d’un appareil de type pompe insĂ©rĂ© dans le vagin. Le ballon gonflĂ© entraĂźne une pression sur la zone rectale, entraĂźnant une diminution du nombre d’épisodes d’incontinence fĂ©cale. ThĂ©rapie par radiofrĂ©quence. Connue sous le nom de procĂ©dure Secca, elle consiste Ă  fournir une Ă©nergie radiofrĂ©quence Ă  tempĂ©rature contrĂŽlĂ©e Ă  la paroi du canal anal pour aider Ă  amĂ©liorer le tonus musculaire. La radiofrĂ©quence est peu invasive et est gĂ©nĂ©ralement rĂ©alisĂ©e sous anesthĂ©sie locale et sĂ©dation. Cependant, cette procĂ©dure n’est pas toujours couverte par une assurance. OpĂ©ration Le traitement de l’incontinence fĂ©cale peut nĂ©cessiter une intervention chirurgicale pour corriger un problĂšme sous-jacent, tel qu’un prolapsus rectal ou une lĂ©sion du sphincter causĂ©e par l’accouchement. Les options comprennent Sphincteroplastie. Cette procĂ©dure rĂ©pare un sphincter anal endommagĂ© ou affaibli survenu lors de l’accouchement. Les mĂ©decins identifient une zone musculaire blessĂ©e et libĂšrent ses bords des tissus environnants. Ils rassemblent ensuite les bords des muscles et les cousent de maniĂšre superposĂ©e, renforçant le muscle et resserrant le sphincter. La sphincteroplastie peut ĂȘtre une option pour les patients essayant d’éviter la colostomie. Traiter un prolapsus rectal, une rectocĂšle ou des hĂ©morroĂŻdes. La correction chirurgicale de ces problĂšmes rĂ©duira ou Ă©liminera probablement l’incontinence fĂ©cale. Au fil du temps, le prolapsus du rectum Ă  travers le sphincter rectal endommage les nerfs et les muscles du sphincter. Plus le prolapsus n’est pas traitĂ© longtemps, plus le risque d’incontinence fĂ©cale ne se rĂ©sorbe pas aprĂšs la chirurgie est Ă©levĂ©. Colostomie dĂ©rivation intestinale. Cette chirurgie dĂ©tourne les selles par une ouverture dans l’abdomen. Les mĂ©decins attachent un sac spĂ©cial Ă  cette ouverture pour recueillir les selles. La colostomie n’est gĂ©nĂ©ralement envisagĂ©e qu’aprĂšs l’échec des autres traitements. .
Jene sais pas si il y a encore des gens qui suivent ce sujet mais c'est le seul que j'ai trouvé sur l'opération des hémorroïdes par radiofréquence. Je me suis fait opérer le jeudi 29/08/2019, hémorroïdes de grade 2, l'opération à duré 8min. 2 paquets à traiter. La sortie de la clinique s'est bien passée. Quelques douleurs et appréhension pour aller à la selle.
Position du problĂšme Depuis 20 ans, de nouvelles techniques chirurgicales hĂ©morroĂŻdaires de moins en moins agressives sont dĂ©veloppĂ©es. La thermocoagulation hĂ©morroĂŻdaire par radiofrĂ©quence RF est une technique mini-invasive rĂ©cemment proposĂ©e pour le traitement chirurgical de la maladie hĂ©morroĂŻdaire MH interne. Pour lors, elle n'a Ă©tĂ© que trĂšs peu Ă©tudiĂ©e. MĂ©thode Le but de cette Ă©tude rĂ©trospective monocentrique Ă©tait d'Ă©valuer l'efficacitĂ© de la RF sur les symptĂŽmes de la MH, sur l'amĂ©lioration de la qualitĂ© de vie, la faisabilitĂ© en ambulatoire et les complications. Les patients ont Ă©tĂ© opĂ©rĂ©s sous AG selon la technique Rafaelo. Les patients Ă©taient interrogĂ©s sur la base d'un questionnaire tĂ©lĂ©phonique. Le prolapsus a Ă©tĂ© cĂŽtĂ© selon l'Ă©chelle de Goligher, la gĂȘne globale et l'incontinence ont Ă©tĂ© notĂ©es sur une Ă©chelle analogique. RĂ©sultat 39/42 patients opĂ©rĂ©s, suivis en moyenne sur 15 mois, ont rĂ©pondu au questionnaire. 33 patients 85% ont Ă©tĂ© opĂ©rĂ© en ambulatoire. Les saignements ont totalement cessĂ© chez 23/37 62% patients et ont diminuĂ© chez 37/39 95% patients. Il y avait une disparition totale du prolapsus chez 9/33 27% patients. En cas de persistance, la rĂ©duction du prolapsus Ă©tait significative p< La seule complication post-opĂ©ratoire Ă©tait la thrombose hĂ©morroĂŻdaire externe 7/39 18% patients. Conclusion Il s'agit de la premiĂšre Ă©tude francophone sur la thermocoagulation hĂ©morroĂŻdaire par radiofrĂ©quence. La radiofrĂ©quence semble ĂȘtre une option thĂ©rapeutique mini-invasive efficace pour le traitement des symptĂŽmes saignement et procidence des hĂ©morroĂŻdes internes et parait amĂ©liorer la qualitĂ© de vie. Elle est adaptĂ©e Ă  l'ambulatoire avec des complications mineures. Ces rĂ©sultats sont Ă  confirmer par une prochaine Ă©tude prochaine Ă©tude française multicentrique Ă©valuant la RF dans la MH. , RadiofrĂ©quence hĂ©morroĂŻdaire la nouvelle technique chirurgicale de choix pour le traitement des hĂ©morroĂŻdes internes ? Constance BIRON
Traitementdes hĂ©morroĂŻdes : peut-on avoir recours Ă  la radiofrĂ©quence ? 4 fĂ©vrier 2019 - Temps de lecture 1 min 55. Retour aux infographies . News menu. ActualitĂ©s; Essais cliniques; VidĂ©os; Podcasts; Infographies; Fiches mĂ©thodo; Publi scientifiques À lire aussi « PrĂ©server l’éjaculation aprĂšs une chirurgie d’adĂ©nome prostatique » Temps de lecture : 6 Les gens qui sont confrontĂ©s au problĂšme d'hĂ©morroĂŻdes doivent comprendre plus qu'une simple information de base sur ce qu'ils doivent faire pour mettre fin Ă  la souffrance causĂ©e par les hĂ©morroĂŻdes , les personnes qui souffrent d'hĂ©morroĂŻdes doivent comprendre la bonne façon de le faire. AprĂšs tout, si vous allez faire quelque chose , vous pourriez aussi bien faire les choses, et la mĂȘme chose s'applique pour le traitement des hĂ©morroĂŻdes . Maintenant, les gens qui connaissent dĂ©jĂ  sur les diffĂ©rentes options de traitement des hĂ©morroĂŻdes qui peuvent ĂȘtre obtenus sur le marchĂ© auront une bonne idĂ©e de la façon dont il est facile d' acheter ces produits. Mais il ya des gens qui ont besoin de comprendre que ce n'est plus qu'une question de sortir et de trouver des produits de traitement des hĂ©morroĂŻdes appropriĂ©s qu'ils peuvent essayer dans l'espoir de trouver un soulagement durable d'un tel problĂšme de santĂ© douloureux . Certaines personnes ont besoin d'ĂȘtre informĂ©s en dĂ©tail complĂšte et correcte sur les choses qu'ils doivent Ă©viter Ă  tout prix afin de s'assurer que le traitement des hĂ©morroĂŻdes qui est effectivement administrĂ© Ă  la personne sera en mesure de fournir avec succĂšs des rĂ©sultats positifs qui devraient de tels produits . Il ya des personnes qui souffrent d' hĂ©morroĂŻdes et , malgrĂ© la prise de diffĂ©rentes formes de produits hĂ©morroĂŻdes , ne parviennent pas Ă  obtenir les rĂ©sultats dont ils ont besoin Ă  partir de ces produits. Apparemment, il ya de nombreux cas oĂč ces personnes n'ont pas la moindre idĂ©e sur les choses qu'ils doivent Ă©viter afin que ces produits fonctionnent rĂ©ellement. Une de ces choses que les gens doivent prendre en compte est la quantitĂ© d'eau qu'ils boivent . Les personnes qui souffrent d'hĂ©morroĂŻdes doivent faire un point pour Ă©viter la dĂ©shydratation car cela peut gravement ajouter Ă  la condition difficile des selles dans le corps. Si une personne peut obtenir d'ĂȘtre cohĂ©rent au sujet de leur consommation d'eau quotidienne , ils vont bientĂŽt trouver que les produits de traitement des hĂ©morroĂŻdes qu'ils ont utilisĂ©es seront facilement montrer de bons rĂ©sultats dans un dĂ©lai beaucoup plus court . Quand il s'agit de la quantitĂ© idĂ©ale de l'eau qu'une personne doit boire chaque jour , les experts de la santĂ© recommandent de boire de huit Ă  dix verres par jour . Tant que la personne qui souffre d'hĂ©morroĂŻdes comprend qu'il n'y a plus de traitement des hĂ©morroĂŻdes que de trouver un produit sur ​​le marchĂ© qui semble ĂȘtre fiable, alors que personne ne peut rĂ©ellement prendre les mesures nĂ©cessaires pour assurer que les travaux de traitement des hĂ©morroĂŻdes et que d'autres problĂšmes d'hĂ©morroĂŻdes peuvent ĂȘtre totalement Ă©vitĂ©s Ă  l' de l'article
LaradiofrĂ©quence est une technologie ancienne utilisĂ©e en mĂ©decine dans de nombreuses applications. Le principe du traitement est de rĂ©aliser une brulure ciblĂ©e, par distribution d’un courant Ă©lectrique sur une zone pathologique d’un organe. L’objectif est d’avoir une efficacitĂ© sur la maladie, sans causer de dĂ©sagrĂ©ment sur le reste de l’organisme.
Les mĂ©thodes de traitement des hĂ©morroĂŻdes sont aujourd’hui trĂšs nombreuses. Les plus anciennes sont les mĂ©thodes traditionnelles de nos grand-mĂšres comme les tisanes, le miel, l’oignon, la glace
 etc. Puis, d’autres mĂ©thodes plus modernes ont apparu comme la phytothĂ©rapie, les opĂ©rations chirurgicales, et les diffĂ©rents mĂ©dicaments hĂ©morroĂŻdes. Dans cet article, nous allons parler d’une maniĂšre approfondie des mĂ©dicaments hĂ©morroĂŻdes leurs types, leurs coĂ»ts, leurs compositions, ainsi que leur taux d’efficacitĂ©. Quelles sont les diffĂ©rentes formes mĂ©dicamenteuses contre les hĂ©morroĂŻdes ? On peut classer les mĂ©dicaments hĂ©morroĂŻdes selon leur forme pharmaceutique et leur voie d’administration La voie orale ComprimĂ©s et gĂ©lules La voie cutanĂ©e CrĂšmes et onguents La voie rectale Suppositoires Chacune de ces diffĂ©rentes formes possĂšde ses propres avantages, tout dĂ©pend du principe actif du mĂ©dicament hĂ©morroĂŻdes. ComprimĂ©s et gĂ©lules Ce sont deux formes mĂ©dicamenteuses solides qui possĂšdent l’avantage d’ĂȘtre facilement absorbĂ©es. Il existe de nombreux types de comprimĂ©s et gĂ©lules contre les hĂ©morroĂŻdes. On peut en citer les exemples de Daflon Ce mĂ©dicament peut ĂȘtre vendu mĂȘme sans prescription mĂ©dicale. C’est un vaso-protecteur et veino-tonique, c'est-Ă -dire qu’il tonifie les veines des hĂ©morroĂŻdes et renforce la rĂ©sistance des vaisseaux sanguins. Son principe actif repose sur les flavonoĂŻdes. Il contient aussi la diosmine, la gĂ©latine, le glycĂ©rol. Daflon peut ĂȘtre administrĂ© pour prĂ©venir les hĂ©morroĂŻdes car il amĂ©liore la rĂ©sistance des veines et empĂȘche leur inflammation. Ce mĂ©dicament est aussi utilisĂ© pour apaiser les jambes lourdes et l’insuffisance veinolymphatique. Posologie 4 Ă  8 comprimĂ©s par jour. Ampecyclal Ce sont des gĂ©lules anti-hĂ©morroĂŻdes qui stimulent la circulation sanguine dans les veines, elles sont de ce fait considĂ©rĂ©es comme des veino-toniques. Ce mĂ©dicament est composĂ© essentiellement par l’adĂ©nosine phosphate d'heptaminol et il est contre indiquĂ© pour les femmes enceintes et allaitantes. Posologie 3 Ă  6 gĂ©lules par jour. DiosmineMylan Ce medicament hemorroides externes est utilisĂ© dans le traitement symptomatique des mauvaises circulations veineuses et dans le cas des altĂ©rations des vaisseaux sanguins et des capillaires. Ces comprimĂ©s sont fabriquĂ©s Ă  base de Diosmine et de lactose, et ils ne sont pas conseillĂ©s au cours de la grossesse ni au cours de l’allaitement. Posologie 4 Ă  6 comprimĂ©s par jour comprimĂ©s de 300 mg Cyclo 3 fort C’est un vasculo-protecteur qui existe sous forme de gĂ©lules. Il possĂšde Ă©galement une action veino-tonique. Ce mĂ©dicament hĂ©morroĂŻdes est composĂ© de la Ruscus, l’hespĂ©ridine mĂ©thyl chalcone, et l’acide ascorbique. Cyclo 3 fort est utilisĂ© dans le traitement symptomatique de l’insuffisance veino-lymphatique. Il est Ă  noter que le traitement des hĂ©morroĂŻdes par cycle 3 fort doit ĂȘtre de courte durĂ©e. Il est impĂ©ratif d’arrĂȘter immĂ©diatement le traitement dans le cas d’apparition d’une diarrhĂ©e. Posologie 4 Ă  5 gĂ©lules par jour dans le cas de crises hĂ©morroĂŻdaires. Ginkor Fort Ce mĂ©dicament peut ĂȘtre utilisĂ© dans le cas des crises hĂ©morroĂŻdaires comme un stimulant de la circulation sanguine dans les veines, mais aussi comme un antalgique. Les gĂ©lules Ginkor Fort sont constituĂ©es de la troxĂ©rutine, l’heptaminol chlorhydrate, ainsi que des extraits de Ginkgo biloba. Posologie 3 Ă  4 gĂ©lules par jour. Hemovel Ce sont des comprimĂ©s dont le principe actif est la Diosmine, et qui sont susceptibles de soulager l’enflure et les saignements causĂ©s par les hĂ©morroĂŻdes grĂące aux propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires et veino-toniques du principe actif. Posologie 2 Ă  3 comprimĂ©s par jour. FormuleH PrĂ©sentĂ© sous forme de gĂ©lules, FormuleH est un mĂ©dicament anti-hĂ©morroĂŻdes 100% naturel et fabriquĂ© en France. Il est composĂ© de 6 ingrĂ©dients actifs afin de soulager la douleur, cicatriser et guĂ©rir les hĂ©morroĂŻdes. Posologie 3 comprimĂ©s par jour. CrĂšmes et onguents Les crĂšmes hĂ©morroĂŻdes sont une forme pharmaceutique pratique qui peut donner des rĂ©sultats immĂ©diats. Ci-dessous une liste des crĂšmes contre les hĂ©morroĂŻdes les plus rĂ©putĂ©es. Avenoc C’est une crĂšme contre les hĂ©morroĂŻdes constituĂ©e des extraits de plantes naturelles comme la Ficariaverna, et la Paeoniaofficinalis. Ces extraits confĂšrentĂ  la crĂšme des propriĂ©tĂ©s anesthĂ©siques locales et calmantes. Les effets de cette crĂšme au cours de la grossesse et l’allaitement sont encore mal connus. Posologie 3 Ă  4 applications par jour. Neohealar Cette crĂšme rectale se trouve sous forme de tube de 30 g. Elle est composĂ©e essentiellement des extraits de plantes naturelles telles que l’Aloe Vera, la Vateriaindica, le Lupinusalbus, ainsi que l’huile de menthe. Elle a des propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires et rĂ©paratrices qui lui confĂšrent la propriĂ©tĂ© de rĂ©gĂ©nĂ©rer les tissus abimĂ©s des hĂ©morroĂŻdes. Posologie 3 applications par jour. TitanorĂ©ine Cette crĂšme est composĂ©e essentiellement de carraghĂ©nate,l’oxyde de zinc, et le dioxyde de titane. Elle a un effet antalgique et anesthĂ©sique qui lui permet de soulager les douleurs et les enflures causĂ©es par les crises des hĂ©morroĂŻdes. Posologie 2 applications par jour. PhlĂ©bocrĂšme Cette crĂšme rectale est indiquĂ©e dans le traitement symptomatique des hĂ©morroĂŻdes internes ou bien externes. Elle est dotĂ©e de propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires et anesthĂ©siques en raison de sa formule qui contient essentiellement la benzocaĂŻne qui est un anesthĂ©sique local. Posologie 2 Ă  3 applications par jour. ProctoGlyvenol C’est un mĂ©dicament hemorroides internes qui peut ĂȘtre appliquĂ© quotidiennement pendant 7 jours pour soulager les symptĂŽmes de la crise des hĂ©morroĂŻdes grĂące aux propriĂ©tĂ©s calmantes de ses principes actifs qui sont la lidocaĂŻne chlorhydrate et la tribĂ©noside. Posologie 2 applications par jours de prĂ©fĂ©rence aprĂšs la dĂ©fĂ©cation. Suppositoires Les suppositoires anti-hĂ©morroĂŻdes sont Ă©galement une forme trĂšs pratique qui donne un soulagement rapide. Voici une liste des suppositoires les plus efficaces Cirkan Ce traitement ne peut ĂȘtre vendu que sur ordonnance mĂ©dicale. Il a des effets antalgique, anti-inflammatoire, anesthĂ©sique, et cicatrisant. Ce mĂ©dicament est composĂ© par la DĂ©sonide, Ruscosides, LidocaĂŻne chlorhydrate, et l’AcĂ©tate de tocophĂ©rol. Ces suppositoires peuvent ĂȘtre utilisĂ©s au cours de la grossesse et l’allaitement sans aucun risque. Posologie 1 suppositoire par jour. TitanorĂ©ine suppositoires Ces suppositoires rĂ©servĂ©s aux adultes contiennent des substances cicatrisantes du tissu hĂ©morroĂŻdaire et protectrices des veines qui agissent localement sur les hĂ©morroĂŻdes. Ils peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour soulager les brĂ»lures et les dĂ©mangeaisons anales. La composition des suppositoires TitanorĂ©ine est comparable Ă  celle de la crĂšme mentionnĂ©e ci-dessus. Il est interdit aux personnes allergiques aux carraghĂ©nates d’utiliser ce suppositoire. Demandez l’avis d’un mĂ©decin avant d’utiliser titanorĂ©ine suppo si vous ĂȘtes enceinte. Posologie 1 Ă  2 suppositoires par jour. Le meilleur traitement anti-hĂ©morroĂŻdes
 Si vous avez peur des effets secondaires indĂ©sirables de mĂ©dicaments pharmaceutiques, ou mĂȘme si vous cherchez le traitement hĂ©morroĂŻdes le plus efficace, nous vous conseillons vivement de recourir aux alternatives naturelles. La prĂ©vention est en fait la meilleure approche pour prĂ©venir une hĂ©morroĂŻde. La premiĂšre Ă©tape que vous devez suivre est de surveiller votre nourriture. Mangez des aliments qui font du bien Ă  votre appareil digestif et qui facilitent votre transit et Ă©loignez vous des aliments qui favorisent la formation des hĂ©morroĂŻdes. Ne manquez pas de faire une activitĂ© physique car la sĂ©dentaritĂ© est l’une des causes qui favorisent la survenue des crises. Sachez aussi que l’abus d’alcool et de cafĂ©ine pourra irriter les muqueuses il faut alors Ă©viter la consommation de ces boissons si vous faites des crises rĂ©pĂ©titives. Mireille Andriveau, 37 ans et physiothĂ©rapeute. Je me mets au service de tous mes lecteurs pour les aider Ă  guĂ©rir leurs hĂ©morroĂŻdes sans retour. LaradiofrĂ©quence peut s’utiliser seule ou en association avec d’autres techniques pour obtenir une efficacitĂ© accrue. Sa principale indication reste le traitement du relĂąchement cutanĂ©. Mais en modifiant les paramĂštres des impulsions Ă©mises, on peut Ă©galement traiter la cellulite (en association avec la mĂ©sothĂ©rapie) , les Operation hĂ©morroĂŻdes chirurgie souvent une trĂšs mauvaise idĂ©eL'operation des hemorroides est la solution la plus radicale proposĂ©e par la mĂ©decine traditionnelle pour supprimer dĂ©finitivement les crises. Bien que parfois nĂ©cessaire dans des cas extrĂȘmes, quand aucune autre mĂ©thode n'a d'effet, cette solution doit ĂȘtre envisagĂ©e seulement en dernier effet, cette intervention chirurgicale prĂ©sente des risques et une rĂ©ussite qui n'est pas toujours au rendez-vous
Operation hemorroides Ă  n'envisager qu'en dernier recoursSi l'on s'intĂ©resse uniquement Ă  la mĂ©decine traditionnelle, on passe malheureusement d'un extrĂȘme Ă  l'autre. D'un cĂŽtĂ©, les pommades et crĂšmes anti-hĂ©morroĂŻdes sont une solution de soulagement Ă  court terme, mais qui ne guĂ©rit pas. De l'autre, l'intervention chirurgicale promet une suppression totale des hĂ©morroĂŻdes, mais le prix Ă  payer est fort, au niveau des douleurs comme au niveau est donc vraiment important de bien rĂ©flĂ©chir avant d'envisager une intervention chirurgicale. Car en plus du coĂ»t financier, l'opĂ©ration se rĂ©vĂšle lourde et n'est pas anodine pour la est vraiment important de bien rĂ©flĂ©chir avant d'envisager une intervention chirurgicaleTraitement Anti-HĂ©morroĂŻdesFormule HSoulagez vos crises hĂ©morroĂŻdaires en traitant la douleur et en prĂ©venant l'apparition de nouvelles crises. Une opĂ©ration chirurgicale lourdeIl suffit de consulter en ligne un grand nombre de tĂ©moignages pour constater qu'une intervention chirurgicale au niveau des hĂ©morroĂŻdes n'est pas Ă  prendre Ă  la entendu, la plupart des opĂ©rations se termine bien, mais la durĂ©e de convalescence pour ce type d'intervention est souvent longue. C'est d'autant plus vrai que l'on a rarement des crises Ă  l'Ăąge de 20 ans. À un Ăąge plus avancĂ©, le corps met donc plus de temps Ă  intervention chirurgicale au niveau des hĂ©morroĂŻdes n'est pas Ă  prendre Ă  la lĂ©gĂšreLe seul message que je veux faire passer est qu'il faut ĂȘtre opĂ©rĂ© par un chirurgien proctologue et ne surtout pas croire que c'est "une petite chirurgie" car s'il y a problĂšme on paie le prix fort aprĂšs !!L'opĂ©ration a Ă©tĂ© faite sous anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale, tu ne vois pas et tu ne sens pas. Par contre les premiers jours post-op sont trĂšs douloureux. Moi je n'ai pas supportĂ© la morphine, donc j'ai eu des antalgiques moins puissants. Je n'ai pas eu les complications post-op prĂ©coces, genre rĂ©tention d'urine, fĂ©calome ou hĂ©morragies...mais il y a des gens qui peuvent les depuis presque 6 semaines pour hĂ©morroides internes/externes + fissure par sphinctĂ©rotomie, je continue Ă  avoir mal avant, pendant et aprĂšs chaque selle, et parfois quelques saignements. Toujours des fausses envies, des besoins impĂ©rieux et frĂ©quents. Je prends tous les jours les mĂȘmes antalgiques Di antalvic + Advil + lumirelax, les bains de siĂšge avec CytĂ©al me provoquent encore plus la sensation de un traitement naturel avant de vous faire opĂ©rer !C'est certain, l'opĂ©ration est parfois la derniĂšre solution. Je ne dĂ©conseille pas formellement cette intervention, car encore une fois, elle se termine bien dans la majoritĂ© des revanche, rĂ©flĂ©chissez Ă  deux fois si vous ĂȘtes amenĂ©s Ă  passer directement des pommades Ă  la chirurgie
Il existe un traitement intermĂ©diaire qui Ă©vite bien souvent le passage par la clinique ou l'hĂŽpital !C'est un traitement naturel, sans douleurs, qui prĂ©sente un taux de rĂ©ussite supĂ©rieur Ă  92%. Autrement dit, 92% des personnes Ă©liminent ou rĂ©duisent significativement la taille de leurs hĂ©morroĂŻdes. DĂ©couvrez dĂšs maintenant le traitement Formule H et mettez fin Ă  vos crises. Ces articles peuvent vous intĂ©resserIls ont suivi le traitement Formule H et ils tĂ©moignentJ’ai bien suivi le traitement pendant ces 6 semaines. Il est vraiment efficace les douleurs ont fortement diminuĂ© aujourd’hui.​Les sensations de brĂ»lure m’empĂȘchaient de m’asseoir correctement pendant de longues heures juste aprĂšs les selles. C’était souvent aprĂšs une constipation je me porte mieux, je ne ressens plus aucune douleur, FormuleH me convient n’ai pas eu de crise depuis que j’ai commencĂ© FormuleH, il y a trois semaines, alors que j’avais mal en permanence
. Quel changement !MĂȘme aprĂšs mon cours d’aikido, en Ă©vitant les positions qui mettent sous pression, tout va ma part, au dĂ©but je voulais me contenter de suivre une bonne alimentation et hygiĂšne de vie. Mais cela n’a pas suffi, j’ai donc commandĂ© le de jours en jours je me sens mieux et j’ai BEAUCOUP moins de dĂ©mangeaisons et de douleurs. Je suis trĂšs contente d’avoir achetĂ© FormuleH et je vais continuer Ă  l’ anti-hĂ©morroĂŻdesFormule HComplĂ©ment alimentaire en gĂ©lules qui prĂ©vient l’apparition des hĂ©morroĂŻdesSon action curative amĂ©liore l’état de toute la zone pĂ©ri-anale et favorise le transit intestinalComposĂ© d’ingrĂ©dients naturels aux propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires, anti-hĂ©morragiques et de rĂ©tractionMĂ©thode "douce" et naturelle, non douloureuseDes dizaines de milliers de personnes font confiance Ă  FormuleH pour se soignerCopyright tous droits rĂ©servĂ©s.
LeDr. Cristian Bivoleanu pratique une nouvelle procĂ©dure de soins des hĂ©morroĂŻdes Plus sĂ»r, plus fiable, des rĂ©sultats durables. Une procĂ©dure en chirurgie ambulatoire (rentrĂ©e et sortie le mĂȘme jour) qui ne nĂ©cessite que quelques minutes d’intervention avec un minimum d’inconfort pour le patient lui permettant ainsi un retour presque immĂ©diat Ă  ses activitĂ©s
Upload Newsletter Login Sign up Download Read Applicant Representative Laurent Jacques Lucas Application number EP08156039A1 Kind A1 Document number 2000815 Shortcuts →Abstract →Claims Classifications International Patent Classification G01S 1/00 Traitement des interfĂ©rences d'un signal radiofrĂ©quence par inversion de puissance 2000815 - EP08156039A1 - EPO Application May 12, 2008 - Publication Dec 10, 2008 Alain Renard Abstract L'invention concerne un rĂ©cepteur radiofrĂ©quence, notamment pour des applications de positionnement par satellite, devant opĂ©rer en environnement oĂč les interfĂ©rences sont denses, notamment lorsqu'il s'agit de pulses Ă©mis par des balises DME. En de-ça du seuil de suppression du signal utile, amplitude ou puissance sont inversĂ©s pour amĂ©liorer le temps de rĂ©ponse aux interfĂ©rences dynamiques. Avantageusement, le seuil de suppression du signal utile et la puissance ou l'amplitude de consigne sont dĂ©terminĂ©s par analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© d'amplitude ou de puissance dans sa partie riche en Ă©chantillons de faible amplitude/puissance. Description La prĂ©sente invention s'applique aux rĂ©cepteurs radiofrĂ©quence devant recevoir des signaux faibles dans un environnement d'interfĂ©rences notamment le cas des rĂ©cepteurs de positionnement qui utilisent les signaux reçus de constellations de satellites GNSS Global Navigation Satellite Systems telles que les systĂšmes GPS Gobal Positionning System et GPS amĂ©liorĂ©, GLONASS Global Orbiting Navigation Satellite System et, dans un futur proche, Galileo. Le signal reçu se situe typiquement quelques dizaines de dB en-dessous du bruit thermique du rĂ©cepteur. Le traitement du signal doit permettre la rĂ©cupĂ©ration d'une ou plusieurs porteuses et d'un ou plusieurs codes de modulation desdites porteuses qui comportent des informations caractĂ©ristiques du satellite Ă©mettant lesdites porteuses. La partie centrale du traitement numĂ©rique est une corrĂ©lation des signaux reçus avec des rĂ©pliques locales desdits signaux. Ces traitements supposent un minimum de rapport signal Ă  bruit en entrĂ©e de corrĂ©lation d'une dizaine de dBHz Ce minimum n'est pas atteint en prĂ©sence d'interfĂ©rences qui saturent le rĂ©cepteur au point de dĂ©tĂ©riorer trĂšs sensiblement le signal utile. C'est typiquement le cas des signaux permettant la localisation par rapport Ă  des points remarquables au sol du systĂšme DME Distance Measuring Equipment. Les balises au sol Ă©mettent des signaux en rĂ©ponse aux signaux d'interrogation Ă©mis par les aĂ©ronefs. Ces balises sol et les interrogateurs embarquĂ©s Ă©mettent des signaux de forte puissance instantanĂ©e de l'ordre de la dizaine de kilowatts dans les bandes de frĂ©quences utilisĂ©es pour les signaux de positionnement aux alentours de 1200 MHzUne solution connue Ă  ce problĂšme est notamment la technique dite du blanking » qui consiste Ă  repĂ©rer le signal interfĂ©rant et Ă  supprimer des traitements ultĂ©rieurs le signal reçu perturbĂ© par celui-ci. Cette solution est inopĂ©rante lorsque la densitĂ© d'interfĂ©rences augmente au point de recouvrir de maniĂšre quasi-permanente le signal utile. Dans ce cas, le blanking conduit Ă  Ă©liminer tout signal utile en mĂȘme temps que le signal interfĂ©rant. Ce type de scenario est susceptible de se produire dans une grande partiede l'espace aĂ©rien europĂ©en, notamment Ă  une altitude de l'ordre pieds oĂč le nombre de balises DME vues par un aĂ©ronef peut ĂȘtre de l'ordre de 60 aux moments de densitĂ© maximale de trafic. II est possible pour amĂ©liorer l'efficacitĂ© du blanking de dĂ©couper la bande en plusieurs sous-bandes et de rĂ©aliser le blanking sur chacune des sous-bandes, ce qui, pour des interfĂ©rences donnĂ©es, laisse subsister une part plus importante du signal utile et amĂ©liore donc le rapport signal sur la rĂ©alisation d'un blanking efficace suppose un asservissement du gain du rĂ©cepteur sur une rĂ©fĂ©rence de bruit thermique, ce qui introduit un retard de boucle prĂ©judiciable en cas d'Ă©volution rapide du scenario d'interfĂ©rences. La prĂ©sente invention permet de s'affranchir de ce cette fin, la prĂ©sente invention propose un dispositif de rĂ©ception d'un signal radiofrĂ©quence comprenant. un module d'estimation d'une grandeur caractĂ©ristique dudit signal choisie dans le groupe amplitude, puissance, un module de filtrage de ladite grandeur et un module d'inversion de ladite grandeur, caractĂ©risĂ© en ce que un paramĂštre au moins d'au moins un des modules du groupe estimation, filtrage est ajustable pour effectuer un traitement optimal d'interfĂ©rences perturbant le signal un des paramĂštres ajustables du dispositif de rĂ©ception selon l'invention est la frĂ©quence d'Ă©chantillonnage du module de filtrage fixĂ©e en fonction des caractĂ©ristiques du signal initial et de celles du signal un au moins des paramĂštres ajustables d'un module du dispositif de rĂ©ception selon l'invention est un paramĂštre de calcul d'une fonction d'estimation du bruit thermique du le dispositif de rĂ©ception selon l'invention comprend en outre un module d'estimation du bruit thermique dont les sorties sont fournies au module d'estimation de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal pour corriger le biais de ladite ledit module d'estimation du bruit thermique comprend un sous-module d'estimation d'une grandeur caractĂ©ristique dudit signal choisie dans le groupe amplitude, puissance, un sous-module de filtrage de ladite grandeur, un sous-module de contrĂŽle automatique du gain du rĂ©cepteur, un sous-module de commande dudit sous-module de contrĂŽle automatique degain par les sorties du sous-module de filtrage, les paramĂštres dudit module de commande Ă©tant ajustables pour assurer un gain sensiblement optimal du le dispositif de rĂ©ception selon l'invention ne comprend qu'un module d'estimation de la grandeur caractĂ©ristique du signal choisie dans le groupe amplitude/ le dispositif de rĂ©ception selon l'invention ne comprend qu'un module de filtrage du le sous-module de commande du dispositif de rĂ©ception selon l'invention comprend un sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit le sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal rĂ©alise une estimation Ă  partir d'un point de comparaison le sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal opĂšre sur un Ă©chantillonnage des signaux reçus enrichi en signaux de puissance le sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal gĂ©nĂšre une innovation en entrĂ©e de la CAG qui pondĂšre avec un poids fort les rĂ©sidus nĂ©gatifs d'une soustraction des Ă©chantillons pour lesquels ladite grandeur caractĂ©ristique est Ă©levĂ©e et avec un poids faible les rĂ©sidus positifs de ladite propose Ă©galement un procĂ©dĂ© d'utilisation dudit prĂ©sente en outre l'avantage que le gain sur le retard de boucle d'asservissement du CAG procure une plage de temps supplĂ©mentaire pour la corrĂ©lation et amĂ©liore donc globalement l'efficacitĂ© du sera mieux comprise et ses diffĂ©rentes caractĂ©ristiques et avantages ressortiront de la description qui suit de plusieurs exemples de rĂ©alisation et de ses figures annexĂ©es dont Lafigure 1reprĂ©sente l'amplitude en fonction du temps des interfĂ©rences pulsĂ©es Ă©mises par une balise DME;Lafigure 2reprĂ©sente l'histogramme en fonction de la frĂ©quence des puissances des Ă©metteurs d'interfĂ©rences pulsĂ©es reçues par un aĂ©ronef au point le plus brouillĂ© de l'espace aĂ©rien europĂ©en ;Lafigure 3reprĂ©sente dans un rĂ©cepteur de l'Ă©tat de l'art antĂ©rieur l'histogramme de la puissance filtrĂ©e en fonction de l'amplitude du signal avec et sans signal pulsĂ© interfĂ©rant dans la bande E5b du signal Galileo ;Lafigure 4reprĂ©sente un synoptique gĂ©nĂ©ral de l'implĂ©mentation de l'inversion d'amplitude ou de puissance;Lafigure 5reprĂ©sente un synoptique de l'implĂ©mentation de l'inversion d'amplitude ou de puissance avec un contrĂŽle automatique de gain en boucle fermĂ©e synchrone;Lafigure 6reprĂ©sente un synoptique de l'implĂ©mentation de l'inversion d'amplitude ou de puissance avec un contrĂŽle automatique de gain en boucle fermĂ©e asynchrone;Lafigure 7reprĂ©sente une variante de lafigure 5oĂč l'estimation d'amplitude/puissance est factorisĂ©e entre le module d'inversion et le module d'asservissement du CAG;Lafigure 8reprĂ©sente une variante de lafigure 5oĂč l'estimation d'amplitude/puissance et le filtrage sont factorisĂ©s entre le module d'inversion et le module d'asservissement du CAG;.Lafigure 9reprĂ©sente un mode de rĂ©alisation de l'invention oĂč l'inversion d'amplitude/puissance est rĂ©alisĂ©e sur plusieurs sous-bandes de la description et les figures, les sigles, acronymes, formules et abrĂ©viations ont la signification indiquĂ©e dans le tableau d'onde de la porteuseAlphaiParamĂštres de rĂ©glage du CAGBlankingSuppression du signal utile en prĂ©sence d'interfĂ©rencesCAGContrĂŽle Automatique du GainCAN ou ADCConvertisseur Analogique NumĂ©rique ou Analog Digital ConverterCMCore Module ou CoeurDMEDistance Measuring EquipmenteSignal reçuEUROCAEEuropean Organisation for Civil Aviation EquipmentfaFonction non linĂ©aire optimale du bruit gaussienFDAFFrequency Domain Adaptative FilteringFIRFinite Impulse Response filter ou Filtre Ă  rĂ©ponse impulsionnelle finieFPGAField-Programmable Gate ArrayGGain du rĂ©cepteurGLONASSGlobal Orbiting Navigation Satellite SystemGNSSGlobal Navigation Satellite SystemGPSGlobal Positioning SystemJTIDSJoint Tactical Information Distribution SystemLSBLeast Significant BitOLOscillateur LocalOSWiSorties de la partie haute du CMPaBruit de forme gaussiennePconsiPuissance de consignePePuissance du signal d'entrĂ©ePsPuissance du signal de sortieTACANTactical Air NavigationUWBUltra Wide BandVGAVoltage Gain AmplifierLes systĂšmes GNSS utilisent actuellement des bandes de frĂ©quence qui sont trĂšs proches des frĂ©quences allouĂ©es aux balises de radionavigation DME. Les frĂ©quences GPS et GPS futur sont par bande E6 1260-1300 MHz, L2 1216-1240 MHz et L5/E5a 1164-1188 MHz. Les frĂ©quences Galileo sont E6, E5a et E5b 1188-1215 MHz. Les frĂ©quences d'DME sont 1025-1150 MHz pour un interrogateur embarquĂ© et les balises au sol Ă©mettent dans la bande 962-1213 MHz donc dans les bandes E5a et E5b de GALILEO et L5de GPS. La bande totale est dĂ©coupĂ©e en 126 canaux et Ă©mission et rĂ©ception d'une balise sont dĂ©calĂ©s de 63 MHz. Les canaux sont donc espacĂ©s de 1 MHz. Ce sont des paires d'impulsions, chacune de largeur de spectre de 300 sont Ă©mises par l'interrogateur embarquĂ©. Lesbalises au sol leur rĂ©pondent avec un retard fixe de 50 microsecondes et le rĂ©cepteur de l'interrogateur embarquĂ© recherche ensuite les paires d'impulsion en rĂ©ponse qui ont l'espacement correct entre elles. La puissance du signal Ă©mis par les balises sol est de l'ordre de 15 caractĂ©ristiques de fonctionnement, schĂ©matisĂ©es en amplitude/temps sur lafigure 1expliquent le caractĂšre trĂšs perturbateur du systĂšme DME pour la navigation par satellite, ceci d'autant plus que le taux d'occupation des interfĂ©rences peut atteindre 100% dans les environnements trĂšs denses en balises comme le Nord de l'Europe Ă  haute 2montre le nombre et la puissance des balises DME dans les bandes de frĂ©quence allouĂ©es qui sont trĂšs proches de L5/E5a au point de densitĂ© maximale dans l'espace aĂ©rien nord europĂ©en dit hotspot ». Le gain avion est Ă  titre d'illustration fixĂ© Ă  -10dBi sur cette figure. Sur la figure sont Ă©galement reprĂ©sentĂ©s un exemple de niveau du bruit thermique - 125dBW, le seuil de blanking rĂ©sultant de l'estimation biaisĂ©e du bruit thermique - 115 dBW et le seuil de blanking optimal - 122 dBW. L'Ă©cart de 7 dBW est trĂšs significatif par rapport aux performances demandĂ©es des un signal GNSS est en-dessous du bruit thermique. Un rapport signal sur bruit minimal est indispensable pour que le traitement du signal, basĂ© pour l'essentiel sur des corrĂ©lations, Ă©ventuellement aidĂ©es, des Ă©lĂ©ments reçus et de leurs rĂ©pliques locales, puisse ĂȘtre efficace. En particulier, si le CAN est saturĂ© par les interfĂ©rences, le signal utile au niveau des corrĂ©lateurs sera extrĂȘmement dĂ©gradĂ©. Cette impossibilitĂ© d'atteindre le signal utile est clairement illustrĂ©e sur lafigure 3qui montre les courbes de puissance en sortie de filtrage avec et sans interfĂ©rences DME. L'horizon temporel est d'environ 2 ”s. Des situations analogues peuvent se produire en prĂ©sence de radars ou de dispositifs pulsĂ©s trĂšs large bande UWBActuellement, les rĂ©cepteurs GNSS utilisent des traitements avant corrĂ©lation pour traiter les interfĂ©rences pulsĂ©es, par exemple, la mĂ©thode blanking » ou la mĂ©thode FDAF ».Le blanking est un procĂ©dĂ© simple consistant Ă  couper le signal pendant l'interfĂ©rence. Le procĂ©dĂ© ne peut fonctionner lorsque les interfĂ©rences sont trop denses car le signal utile est alors complĂštement perdu. La mĂ©thode FDAF constitue une amĂ©lioration de ce procĂ©dĂ©. Elle consiste Ă  dĂ©couper la bande de rĂ©ception en sous-bandes et Ă  appliquer le procĂ©dĂ© de blanking Ă  chaque ces mĂ©thodes, si elles permettent de dĂ©tecter des interfĂ©rences pulsĂ©es et de les Ă©liminer, supposent que l'on connaisse prĂ©cisĂ©ment la puissance du bruit thermique. Par exemple, si un pulse a une amplitude supĂ©rieure Ă  celle du bruit, alors on peut dire avec une faible probabilitĂ© de fausse alarme qu'un pulse est prĂ©sent et on peut l'Ă©liminer. Cela revient Ă  exiger une CAG idĂ©ale ». Dans certains cas, on peut se tromper sur la connaissance de la puissance du bruit. sans que cela remette en cause l'efficacitĂ© du blanking global ou par bande. C'est le cas pour des scĂ©narios oĂč les interfĂ©rences pulsĂ©es sont trĂšs puissantes et donc facilement dĂ©tectables les mĂ©thodes temporelles marchent bien car les pulses sont dĂ©tectĂ©s et pas pris en compte dans l'estimation du bruit thermique. C'est Ă©galement le cas dans des scĂ©narios oĂč les interfĂ©rences pulsĂ©es sont peu nombreuses et peu puissantes l'estimation du niveau de bruit est lĂ©gĂšrement biaisĂ©e mais cela n'empĂȘche pas le fonctionnement du rĂ©cepteur, mĂȘme si celui-ci est un peu revanche , pour des scĂ©narios oĂč les interfĂ©rences pulsĂ©es sont nombreuses et peu puissantes difficilement dĂ©tectables, l'estimation du nombre de bits sur lequel est codĂ© le bruit est fortement biaisĂ©e. Les mĂ©thodes temporelles ne sont plus efficaces. probabilitĂ© de non dĂ©tection en trĂšs forte augmentation. Les interfĂ©rences pulsĂ©es sont dĂ©tectĂ©es relativement Ă  l'estimation du bruit thermique. Comme l'estimation du bruit thermique est plus forte que le bruit thermique lui-mĂȘme quand des pulsespeu puissantes apparaissent et ne sont pas dĂ©tectĂ©s, le seuil de blanking est donc plus Ă©levĂ© qu'il ne devrait ĂȘtre comme illustrĂ© sur lafigure 2. Donc des interfĂ©rences pulsĂ©es entrent dans le calcul de la CAG. La CAG rĂ©agit en descendant le gain du VGA. Donc, encore plus d'interfĂ©rences pulsĂ©es entrent dans l'estimation du bruit thermique et ainsi de suite. Ceci continue Ă  diverger jusqu'Ă  que le rĂ©cepteur accepte la majoritĂ© des interfĂ©rences pulsĂ©es et ne code plus le signal mĂ©thodes permettent de fournir une rĂ©fĂ©rence de bruit non biaisĂ©e pour dĂ©terminer le seuil de blanking. Certaines sont prĂ©sentĂ©es de maniĂšre dĂ©taillĂ©e dans la prĂ©sente description. Elles prĂ©sentent cependant en gĂ©nĂ©ral l'inconvĂ©nient d'introduire un retard de boucle qui ralentira l'ajustement du dispositif Ă  des variations des paramĂštres de l' rĂ©soudre ce problĂšme non rĂ©solu dans l'art antĂ©rieur, l'idĂ©e de l'invention est de rĂ©aliser une inversion de l'amplitude ou de la puissance du signal reçu pour Ă©crĂȘter les pulses. Si les interfĂ©rences pulsĂ©es ne sont pas saturĂ©es par le CAN, les Ă©chantillons sont rĂ©cupĂ©rĂ©s par l'inversion d'amplitude ou de puissance. Par exemple, si le bruit thermique a Ă©tĂ© codĂ© sur 4 bits et que le CAN peut coder linĂ©airement 8 bits, les Ă©chantillons sur les 4 bits de poids forts sont ramener sur les 4 bits de poids faible. La phase des Ă©chantillons est conservĂ©es mais le rapport signal sur bruit est dĂ©gradĂ©. Cela revient Ă  faire une CAG numĂ©rique » qui rĂ©agit trĂšs rapidement en prĂ©sence de pulses sans que la CAG analogique » ne rĂ©agisse. Cette solution permet aussi de gagner en corrĂ©lation le temps de rĂ©ponse de la CAG analogique en prĂ©sence d'interfĂ©rences d'amplitude ou de puissance consiste Ă  multiplier le signal d'entrĂ©e par l'inverse de l'estimation d'amplitude ou de puissance filtrĂ©e. Dans le cas oĂč l'inversion porte sur la puissance du signal, la puissance du signal de sortie est Ă©gale Ă  l'inverse de la puissance du signal d'entrĂ©e, Ă  une constante prĂšs. Le gain du rĂ©cepteur est donnĂ© par rapport Ă  une puissance de consigne par la formule G=Pconsi/PeDans le cas oĂč l'inversion porte sur l'amplitude du signal, la puissance dusignal de sortie est Ă©gale Ă  l'inverse du carrĂ© de la puissance du signal d'entrĂ©e, Ă  une constante prĂšs. Le gain du rĂ©cepteur est donnĂ© par rapport Ă  un puissance de consigne par la formule G=Pconsi/Pe2L'inversion de puissance est thĂ©oriquement optimale. En revanche, l'inversion d'amplitude est moins sensible aux imperfections de rĂ©alisation. L'inversion de puissance ne peut cependant se substituer complĂštement au blanking lorsque le CAN est saturĂ© par les interfĂ©rences pulsĂ©es, il est nĂ©cessaire d'effectuer un blanking afin de limiter les frĂ©quences parasites qui, sinon, entreraient dans la corrĂ©lation. Pour cette raison et pour disposer d'une rĂ©fĂ©rence pour fixer Pconsi,,il est nĂ©cessaire de disposer d'une rĂ©fĂ©rence de bruit non y a plusieurs modes possibles de rĂ©alisation de la capture de la rĂ©fĂ©rence de bruit non biaisĂ©e. Les Ă©lĂ©ments communs spĂ©cifiques Ă  l'invention de l'architecture gĂ©nĂ©rale de rĂ©alisation sont dĂ©crits sur lafigure 4. Le dispositif travaille avantageusement en bande de base. Cela permet de rĂ©duire la dynamique avant passage en frĂ©quence intermĂ©diaire. Les diffĂ©rentes fonctions reprĂ©sentĂ©es sur la figure sont avantageusement rĂ©alisĂ©es dans un mĂȘme circuit FPGA dans lequel pourront Ă©galement ĂȘtre implantĂ©es les fonctions de rĂ©cupĂ©ration du bruit. Le premier opĂ©rateur 10 est une fonction d'estimation d'amplitude classique de type I2+Q2, alternativement Racine l2+Q2 ou I+Q. La deuxiĂšme fonction 20 rĂ©alise le filtrage de l'estimation pour obtenir la moyenne de la densitĂ© de probabilitĂ© d'amplitude. Ce filtrage est rĂ©alisĂ© sur un horizon de temps adaptĂ©, par exemple 2,2”s dans E5b, ce qui reprĂ©sente un Ă©chantillon de 128 points. L'estimation est avantageusement effectuĂ©e sur un Ă©cart type reprĂ©sentant 10% de la moyenne. Dans une hypothĂšse d'interfĂ©rences de dynamiques variables, il est possible d'utiliser un filtre de Kalman, Ă©ventuellement adaptĂ© Ă  un pulse carrĂ© d'amplitude minimale dĂ©tectable. On applique ensuite aux sorties du filtre un opĂ©rateur 30 d'inversion d'amplitude ou de puissance qui est activĂ© lorsque le CAN n'est pas saturĂ©, le seuil de saturation dĂ©pendant de l'estimation du bruit premier mode de rĂ©alisation consiste Ă  estimer le bruit thermique en absolu, de donner un seuil de blanking en absolu et de faire attention que le bruit thermique n'Ă©volue pas pendant les essais. Afin d'estimer le bruit thermique en absolu, l'estimation du gain de la chaĂźne HF est effectuĂ© par calibration en laboratoire et l'estimation du facteur de bruit en mesurant le bruit de la chaĂźne avec l'antenne dĂ©branchĂ©e. Cette association de deux mesures ponctuelles permet de connaĂźtre exactement le bruit dans la chaĂźne HF Ă  un moment donnĂ© et d'effectuer le blanking en fonction de cette estimation de bruit. Il faut disposer d'abaques permettant de dĂ©river les variations de biais d'estimation du bruit thermique en fonction de la tempĂ©rature, de la pression, de la dynamique et du vieillissement. Cette solution peut ĂȘtre praticable pour des environnements stables mais est moins adaptĂ©e Ă  des rĂ©cepteurs soumis Ă  des dynamiques deuxiĂšme mode de rĂ©alisation consiste Ă  utiliser une estimation non biaisĂ©e du bruit thermique par injection d'une innovation calculĂ©e pour rendre le gain du rĂ©cepteur optimal. L'innovation est calculĂ©e Ă  partir de l'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de puissance ou d'amplitude du signal. Cette fonction est analysĂ©e dans sa partie oĂč sont peu prĂ©sents les Ă©chantillons de forte amplitude ou puissance qui est peu affectĂ©e par les interfĂ©rences comme le montre lafigure injection peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e de maniĂšre synchrone. Le module utilisĂ© se situe dans la partie basse 40 de lafigure 5. Il peut ĂȘtre implantĂ© dans le mĂȘme FPGA que le dispositif de base de l'invention. Il comprend un sous-module d'estimation 400 de l'amplitude ou de la puissance du signal, un sous-module de filtrage 500 qui aura la mĂȘme constante de temps que le module de filtrage dĂ©crit ci-dessus. Classiquement, le dispositif comprend un sous-module de CAG 60. En entrĂ©e de ce sous-module 600, on applique aux sorties du sous-module de filtrage un sous-module de commande 700 qui comprend une ou plusieurs fonctions non linĂ©aires qui vont gĂ©nĂ©rer une innovation Ă  partir de paramĂštres d'optimalitĂ© qui dĂ©pendent du contexte d'emploi. Si le bruit a une forme Pa, la fonction non linĂ©aire optimale est donnĂ©e par la formulefa=dPa/da/Pafa est une fonction linĂ©aire lorsqu'il n'y a pas de pulses. En prĂ©sence de pulses, la fonction linĂ©aire est conservĂ©e dans la partie gauche de la distribution qui est, en revanche, complĂštement modifiĂ©e dans sa partie droite. Il est Ă©galement possible d'utiliser une dĂ©rivĂ©e de fa.L'innovation est ensuite introduite dans la CAG. Il y a plusieurs variantes possibles pour rĂ©aliser l'observation et calculer l' premiĂšre variante consiste Ă  choisir un point de comparaison sur la courbe et Ă  asservir la CAG en utilisant une pondĂ©ration plus forte des Ă©chantillons de plus faible amplitude que le point choisi. Une deuxiĂšme variante consiste Ă  estimer la courbe de puissance filtrĂ©e par ajustement Ă  une courbe thĂ©orique que l'on paramĂštre sur plusieurs points, par exemple trois. Une troisiĂšme variante consiste Ă  dĂ©terminer un histogramme de ladite fonction de probabilitĂ© et d'en extraire la contribution du bruit seul puis de calculer la commande de les deux premiĂšres variantes, on cherche Ă  s'asservir sur le ou les points de comparaison choisis en le ou les caractĂ©risant par le ratio de la partie gauche et de la partie droite. Une solution est de donner plus de poids Ă  un Ă©vĂ©nements de valeur infĂ©rieure a ceux dĂ©passant le point choisi par une fonction non linĂ©aire adĂ©quate, ceci permet de rĂ©duire considĂ©rablement l'effet les valeurs Ă©levĂ©es dues aux pulses. On peut en pratique parvenir Ă  ce rĂ©sultat par l'utilisation d'une des fonctions suivantes ou d'une autre qui serait comparablefonction non linĂ©aire tout ou rien si l'Ă©vĂ©nement est infĂ©rieur au point choisi alors il lui affecte un poids k supĂ©rieur Ă  1, dans le cas contraire, il reste inchangĂ© ; ceci va conduire Ă  un Ă©quilibre tel que la proportion relative soit la valeur k or celle-ci Ă  Ă©tĂ© choisie pour obtenir la bonne valeur de la moyenne en prĂ©sence de bruit seul ;fonction saturĂ©e dissymĂ©trique le fonctionnement est voisin du prĂ©cĂ©dent mais permet en rĂ©gime stable un fonctionnement linĂ©aire au voisinage du point choisi permettant une meilleure stabilitĂ© de la CAG , ce qui aboutit Ă  un bon compromis temps de rĂ©ponse bruit la troisiĂšme variante, le principe est de dĂ©terminer la puissance du bruit par l'observation de l'histogramme ou la fonction de probabilitĂ© des amplitudes ceci peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© par plusieurs mĂ©thodes dĂ©composition de l'histogramme en somme de lois du khi2 ou approximĂ© par une gaussienne dans le cas avec filtrage optionnel et dĂ©termination de la plus probable reprĂ©sentative du bruit par exemple la plus grande dans les amplitudes petites critĂšre optimisĂ© en fonction de l'environnement Ă  priori ;dĂ©composition de l'histogramme en somme de lois Ă  priori des interfĂ©rence et d'une loi attendue pour le bruit X2, gaussienne la moyenne de la loi de bruit Ă©tant alors reprĂ©sentative de la puissance du bruit seul ;calcul d'une fonction de vraisemblance par corrĂ©lation avec la forme attendue en bruit seul Ă©ventuellement pondĂ©rĂ© Ă  calcul de l'histogramme doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© sur un horizon suffisant pour ĂȘtre pas de l'histogramme est choisi suffisamment fin pour discriminer la fonction attendue particuliĂšrement sa largeur Ă©gale Ă  l'Ă©cart type des autres contributions gĂ©nĂ©ralement plus proches de fonctions de filtrage aprĂšs comparaison de la consigne n'est pas essentiel .On dĂ©termine alors la composante due au bruit et on peut comparer sa moyenne avec la valeur de la premiĂšre variante est dĂ©crite de maniĂšre dĂ©taillĂ©e dans la prĂ©sente demande de la suite de la description, le point de comparaison choisi est celui qui partage les Ă©chantillons en 10% de plus faible probabilitĂ© d'amplitude et 90% de plus forte probabilitĂ©. Une autre rĂ©partition est possible et le rĂ©glage du circuit de commande peut ĂȘtre effectuĂ© pour rĂ©aliser une adaptation fine au profil d'interfĂ©rences particuliĂšres. Cette rĂ©partition est dĂ©nommĂ©e Alpha » dans les exemples numĂ©riques commentĂ©s ci-dessousIl faut Ă©galement choisir d'autres paramĂštres Alpha1», Alpha2» et Alpha3» pour assurer un gain sensiblement optimal du rĂ©cepteur quiminimise le biais affectant le seuil de blanking. Alpha1» est la probabilitĂ© de la CAG qui se calcule comme indiquĂ© dans la suite de la description. Alpha2» est la pondĂ©ration de saturation et Alpha3» est le paramĂštre de rĂ©glage du seuil de voulons Ă©tablir la commande de la CAG en observant les Alpha »% d'Ă©chantillons dont l'amplitude est la plus soustrayons une commande contenant 1- Alpha »% des Ă©chantillons pour centrer l'histogramme avec Alpha »% des Ă©chantillons en dessous de 0 et 1- Alpha »% des Ă©chantillons au-dessus de 0. Ensuite nous saturons trĂšs fortement les rĂ©sidus. Nous pondĂ©rons les rĂ©sidus nĂ©gatifs avec un poids 1- Alpha2», par exemple et les rĂ©sidus positifs avec un poids Alpha2», dans ce cas L'asservissement de la boucle de CAG a un donc un point d'Ă©quilibre lorsque ce rĂ©sidu vaut 0. Alpha 2» est liĂ© au filtrage de la puissance avant le calcul de la commande de CAG et Ă  la forme de la gaussienne de bruit. Dans notre cas, le filtrage est effectuĂ© sur 128 Ă©chantillons ~2”s donc l'Ă©cart-type du bruit thermique est diminuĂ©. Lorsque le rĂ©glage est autour de quelques pourcents, la gaussienne change fortement, donc Alpha 2 » doit ĂȘtre permet de prendre en compte les occurrences et pas les amplitudes de la fonction de probabilitĂ© pour les Ă©carts importants et conserve une petite plage linĂ©aire permettant le filtrage du bruit rĂ©siduel de l'estimation de seuil de blanking Alpha3» fixĂ© par exemple dans nos applications Ă  une valeur comprise entre 0 et 16. Alpha 1 » est calculĂ© de la maniĂšre suivante I et Q sont des variables gaussiennesEI=EQ=0,EI2=EQ2=2*Nb_out+Diff_bruit=22+Q2ont une moyenne de 22*Nb_out+Dff_bruit+1et un Ă©cart-type de 22*Nb_out+Diff_bruit+1Car moy⁹I2+Q2=E⁹I2+Q2=E[I2]+EQ2=2*E[I2]=2*Nb_out+Diff_bruit+1=2⁹2var⁹I2+Q2=E⁹I2+Q2-2⁹22=E[I4]+EQ4+4⁹2+2⁹E[I2⁹Q2]-4⁹2E[I2]-4⁹2⁹EQ2=3⁹4+3⁹4+4⁹4+2⁹4-4⁹4-4⁹4=4⁹4car E[x1x2x3x4]= E[x1x2] E[x3x4]+ E[x1x3] E[x2x4]+ E[x1x4] E[x2x3]I2+Q2est moyennĂ© sur 128 Ă©chantillons, la moyenne n'a pas changĂ© mais l'Ă©cart-type devient 1128*22*Nb_out+Diff_bruit+1Car moyⁱ∑NI2+Q2=Eⁱ∑NI2+Q2=∑NE⁹I2+Q2=N⁹22*Nb_out+Diff_bruit+1=2⁹N⁹2varⁱ∑NI2+Q2=Eⁱ∑NI2+Q2-2⁹N⁹22=Eⁱ∑NI2+Q2-2⁹22=varⁱ∑NI2+Q2-2⁹2=NEⁱ∑NI2+Q2-2⁹22=4⁹N⁹4Les tables classiques associent Ă  chaque valeur alĂ©atoire sa probabilitĂ© dans le cas d'une gaussienne centrĂ©e et d'Ă©cart-type 1. Pour obtenir une probabilitĂ© de 10% par exemple, nous prenons l'opposĂ© de la valeur Ă  90% nous la multiplions par l'Ă©cart-type et nous ajoutons le dĂ©centrage de la gaussienne. Dans cet exemple, nous avons donc se placer exemples de rĂ©glage figurant dans le tableau ci-dessous sont donnĂ©s Ă  titre purement illustratif RĂ©glage CAG alpha »ProbabilitĂ© CAG alpha 1 »Saturation alpha 2 »RĂ©glage du seuil de blanking alpha 3 »Type de CAG6% choisie pour le scĂ©nario DME/TACAN17% choisie lorsque les scĂ©narios de pulses ne sont pas clairs33% classiqueIl est Ă©galement possible d'injecter une estimation du bruit thermique sur un temps de rĂ©action supĂ©rieur Ă  la constante de filtrage. On peut choisir par exemple un temps de cycle de quelques ms. Cette variante est illustrĂ©e sur lafigure 6. L'avantage de cette option est d'autoriser une dynamique plus rĂ©duite des est possible de factoriser certains Ă©lĂ©ments d'architecture des deux sous-modules, en particulier la fonction d'estimation de l'amplitude/puissance figure 7 et la fonction de filtrage figure 8. II est Ă©galement possible de rĂ©aliser une inversion par bande de frĂ©quence figure 9. Dans cette option, un blanking sera Ă©galement rĂ©alisĂ© dans chaque bande au delĂ  du seuil. Par exemple pour un signal BOC, on pourra rĂ©aliser l'inversion et le blanking dans les deux bandes larges et les deux bandes Ă©troites. L'avantage de rĂ©aliser inversion et blanking par bande est d'amĂ©liorer le rapport signal sur bruit, la part du signal utile conservĂ©e Ă©tant plus Ă©levĂ©e. See more Claims Dispositif de rĂ©ception d'un signal radiofrĂ©quence de navigation module d'estimation 10 d'une grandeur caractĂ©ristique dudit signal choisie dans le groupe amplitude, puissance, un module de filtrage 20 de ladite grandeur et un module d'inversion 30 de ladite grandeur,caractĂ©risĂ© en ce queun paramĂštre au moins d'au moins un des modules du groupe estimation, filtrage est ajustable pour effectuer un traitement sensiblement optimal d'interfĂ©rences perturbant le signal de rĂ©ception selon la revendication 1caractĂ©risĂ© en ce qu'un des paramĂštres ajustables est la frĂ©quence d'Ă©chantillonnage du module de filtrage 20 fixĂ©e en fonction des caractĂ©ristiques du signal initial et de celles du signal de rĂ©ception selon l'une des revendications 1 Ă  2caractĂ©risĂ© en ce qu'un au moins des paramĂštres ajustables est un paramĂštre de calcul d'une fonction d'estimation du bruit thermique du de rĂ©ception selon l'une des revendications 1 Ă  2caractĂ©risĂ© en ce qu'il comprend en outre un module d'estimation 40 du bruit thermique dont les sorties sont fournies au module d'estimation de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal pour corriger le biais de ladite de rĂ©ception selon la revendication 4caractĂ©risĂ© en ce queledit module d'estimation 40 du bruit thermique comprend un sous-module d'estimation 400 d'une grandeur caractĂ©ristique dudit signal choisie dans le groupe amplitude, puissance, un sous-module de filtrage 500 de ladite grandeur, un sous-module de contrĂŽle automatique du gain du rĂ©cepteur 600, un sous-module de .commande 700 dudit sous-module de contrĂŽle automatique de gain par les sorties du sous-module de filtrage 500, les paramĂštres dudit module de commande 700 Ă©tant ajustables pour assurer un gain sensiblement optimal du de rĂ©ception selon la revendication 5caractĂ©risĂ© en ce qu'il ne comprend qu'un module d'estimation 10, 400 de la grandeur caractĂ©ristique du signal choisie dans le groupe amplitude/ de rĂ©ception selon la revendication 6caractĂ©risĂ© en ce qu'il ne comprend qu'un module de filtrage 20, 500 du de rĂ©ception selon l'une des revendications 5 Ă  7caractĂ©risĂ© en ce quele sous-module de commande 700 comprend un sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit de rĂ©ception selon l'une des revendications 5 Ă  7caractĂ©risĂ© en ce quele sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal rĂ©alise une estimation Ă  partir d'un point de comparaison de rĂ©ception selon la revendication 9caractĂ©risĂ© en ce quele sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal opĂšre sur un Ă©chantillonnage des signaux reçus enrichi en signaux de puissance de rĂ©ception selon la revendication 10caractĂ©risĂ© en ce quele sous-module d'analyse de la fonction de densitĂ© de probabilitĂ© de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal gĂ©nĂšre une innovation en entrĂ©e de la CAG qui pondĂšre avec un poids fort les rĂ©sidus nĂ©gatifs d'une soustraction des Ă©chantillons pour lesquels ladite grandeur caractĂ©ristique est Ă©levĂ©e et avec un poids faible les rĂ©sidus positifs de ladite de traitement d'un signal radiofrĂ©quence de navigation comprenant une Ă©tape d'estimation d'une grandeur caractĂ©ristique dudit signal choisie dans le groupe amplitude, puissance, une Ă©tape de filtrage de ladite grandeur et une Ă©tape d'inversion de ladite grandeur,caractĂ©risĂ© en ce queun paramĂštre au moins d'au moins une des Ă©tapes du groupe estimation, filtrage est ajustable pour effectuer un traitement sensiblement optimal d'interfĂ©rences perturbant le signal de traitement d'un signal radiofrĂ©quence selon la revendication 12caractĂ©risĂ© en ce qu'un des paramĂštres ajustables est la frĂ©quence d'Ă©chantillonnage de l'Ă©tape de filtrage fixĂ©e en fonction des caractĂ©ristiques du signal initial et de celles du signal de traitement d'un signal radiofrĂ©quence selon l'une des revendications 12 Ă  13caractĂ©risĂ© en ce qu'un au moins des paramĂštresajustables est un paramĂštre de calcul d'une fonction d'estimation du bruit thermique du de traitement d'un signal radiofrĂ©quence selon l'une des revendications 12 Ă  13caractĂ©risĂ© en ce qu'il comprend en outre une Ă©tape d'estimation du bruit thermique dont les sorties sont fournies Ă  l'Ă©tape d'estimation de ladite grandeur caractĂ©ristique dudit signal pour corriger le biais de ladite estimation. 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